L’Etat franco-républicain reste fidèle à sa tradition : rendre un hommage national à tout artisan d’un changement sociétal qui se révèle le plus radical et le plus anti-traditionnel qui soit. Robert BADINTER répond à ce critère. Cet avocat s’illustra, en effet, de façon magistrale dans la défense des causes les plus sordides, les assassinats d’enfants.
Selon lui, la peine de mort était… « inhumaine ». Celle des assassins, s’entend, non celle des victimes qui demeure plus que jamais un des aspects les plus prégnants à notre époque. Or, abolir la peine de mort pour les assassins d’enfants relève d’une volonté particulièrement cynique et inimaginable. A l’image de celle qui, en 1975, imposa la loi qui autorise le massacre des innocents dans le ventre de leur mère.
La responsabilité de cet ex-ministre de la Justice est donc écrasante dans la multiplication des assassinats, meurtres et actes de barbarie perpétrés depuis la promulgation de sa loi, le 9 octobre 1981. Combien de victimes auraient pu être épargnées si l’autorité de l’Etat ne les avait sacrifiées gratuitement sur l’autel de la bien-pensance progressiste ?
Voilà une nouvelle icone qui aura toute sa place au sein du Panthéon des « Gloires républicaines ». Fort heureusement, il existe pour les gens encore sains d’esprit, des lieux de recueillement plus fréquentables.
On comprendra que nos pensées et prières n’iront qu’aux innocentes victimes de législations antinaturelles et mortifères.
Avec le ferme espoir de voir, un jour, ces lois homicides abrogées et le Panthéon rendu au culte catholique qui en a été chassé.
Jakez GWILLOU (13 février 2024)