Ce samedi matin 31 mars 2018, les riverains du Lieu-dit Koat Keo à Scrignac ont découvert que la tombe de l’Abbé Yann-Vari Perrot avait été profanée. La croix de sa tombe avait été cassée et taggée et la chapelle dégradée. Les gendarmes présents sur place ont procédé aux relevés d’usage.
Qui était Yann-Vari Perrot ? Précurseur dans la lutte pour la langue bretonne en nord et centre Bretagne, l’Abbé Perrot fut aussi à l’initiative de troupes de théâtre en langue bretonne durant toute sa vie. Il fut assassiné le 12 décembre 1943 par des militants communistes des environs. Bien que connu du voisinage, son assassin ne fut jamais inquiété par la justice d’après-guerre et le crime resta impuni.
Selon les inscriptions découvertes (voir ci-dessus), la profanation revêt un caractère politique et vise particulièrement les prêtres.
Le Gouvernement Provisoire de Bretagne en exil tient à marquer son émotion et son indignation face à ce crime.
Pour un communiste exécuter un « collabo » n’était pas un problème en 1943, mais profaner sa tombe en 2018 ravale ses auteurs au rang des pires terroristes de DAECH, responsables de l’assassinat du Père Hamel.
La responsabilité de ceux qui nous dirigent depuis trente ans est immense. Toutes les arguties juridiques, les précautions, les prétextes à une inaction coupable ne sont pas admissibles. C’est maintenant aux autorités françaises qui nous gouvernent de prouver leur compétence et leur sens de la justice en recherchant et condamnant sans délai les auteurs de cette profanation.
Pour le Gouvernement Provisoire de Bretagne en exil
Claude Guillemain
Une honte innommable, plus aucun respect pour les sépultures, ce pauvre abbé assassiné par les barbares communistes de Scrignac et des environs sous le couvert de qui, de quoi ? lâches qui n’osent se dénoncer du meurtre de l’abbé Perrot, car il s’agit bien d’un assassinat non élucidé.
Malheur à ceux qui sont encore dans l’esprit de cette manigance. Enfants et petits enfants de ces assassins
si vous avez des soupçons, s’il vous plait dénoncez ces gens capables de tout, jusqu’à profaner une tombe, vous n’êtes pas responsables des actes de vos aïeuls aveuglés en ces temps par la haine de l’église…..ils étaient communistes.
SAV BREIZH
Des soupçons ? Oui, et même plus que des soupçons: Gael Roblin et ses sbires, le SLB, Sindikad Labourerien Breizh http://www.slb-sindikad.org/ et tous ceux qui de près ou de loin sont proches de la mouvance gauchiste en Bretagne
Cette profanation ne vise pas les prêtres de manière générale, mais une figure patriotique et religieuse, en particulier qui témoignait à la fois de son nationalisme breton et de sa foi catholique traditionnelle. Que ce sacrilège ait été commis précisément la veille de la commémoration annuelle du lundi de Pâques : en l’honneur de l’abbé PERROT, des martyrs Bretons et des Insurgés Irlandais…n’est pas innocent ! Il s’agit bien d’une provocation à l’égard des Patriotes bretons.
Pour rappel, les rats bolcheviques n’ont pas l’exclusivité de ces horreurs. Ils ont eu pour exemples les républicains français, avec le saccage des édifices religieux et les profanations de sépultures royales et ecclésiastiques. Et, avant ceux-ci, les Huguenots à la nuque raide dont le vandalisme religieux surpasse celui des révolutionnaires de 89. Ne comptons pas trop sur les médias pour rappeler des similitudes entre ces mouvements d’opinion dont les descendants spirituels trustent encore tous les postes-clés de l’ Etat jacobin.