NOUS NE SERONS PAS LES DERNIERS BRETONS !

 


Jakez Guieysse

La littérature mettant en scène les derniers représentants de peuples menacés de disparition, existe fort heureusement grâce à des auteurs enracinés. Tel Jean Raspail ou Emile Souvestre dont l’ouvrage « Les derniers Bretons » interpellait déjà chacun de ses compatriotes, en 1836 sur leur devenir existentiel. Sur ce point capital, nous avertissons que nous ne nous résignerons jamais à devenir  les  derniers Bretons.
Car nous ne partageons en rien le fatalisme des peuples du désert. Pas plus que nous ne croyons au sens marxiste de l’histoire. Pour nous, ce qui fait l’Histoire, selon notre conception celte et chrétienne, c’est la volonté des hommes, c’est leur foi en une croyance qui les transcende. Seule une transfusion d’une ampleur criminelle pourrait mettre un terme, à l’existence de notre nation, si les maîtres de l’internationalisme financier poursuivaient leur œuvre de « Grand remplacement » sans rencontrer d’obstacle.
Et, c’est précisément pour stopper cette course à l’abîme, qu’il n’est plus question pour les gens sensés de chez nous, de se retrancher dans une tour d’ivoire, dans l’attente des jours meilleurs.
Dans l’immédiat, il nous faut parer au plus pressé, en apportant notre soutien PONCTUEL aux présidentielles à Marine Le Pen : la seule personne susceptible de nous sortir non de l’Europe, car celle-ci n’a pas attendu le plan Marshall pour exister, mais de l’Union Européenne qui en est le masque grimaçant et funeste. Une Union européenne qui, rappelons-le, fut la création de la Finance anonyme et vagabonde d’expression anglo-saxonne, par l’entremise d’agents d’influence US dont les plus connus sont Robert Schumann et Jean Monnet.
Or, si dans les décennies qui suivirent, les laquais au service de la ploutocratie n’ont pas manqué de sévir, ils manœuvraient en coulisses. Aujourd’hui, leur arrogance s’étale au grand jour, puisque l’un d’eux occupe le devant de la scène politique : Emmanuel Macron.
Nul doute que l’agent Macron sera le très zélé collaborateur de cette UE qui nous prépare l’arrivée supplémentaire de 6 millions d’extra-européens. C’est donc bel et bien notre mort, notre disparition par submersion que les autorités de Bruxelles et ses valets, actent pour l’édification d’un monde unitaire voulu par les financiers de Wall Street et de la City.
L’imminence du péril nous ordonne, nous, Bretons de participer au combat commun avec tous nos frères européens, qu’ils soient de Paris, Berlin, Budapest ou Moscou. Nous ne pouvons nous sauver seuls. Ce serait une tactique suicidaire au regard de l’enjeu civilisationnel qui nécessite une hiérarchisation des priorités, pour emporter la décision finale. Il s’agit donc de défendre bec et ongles, notre EUROPEANITE, aujourd’hui, pour vivre pleinement notre BRETONNITE, demain.
Oui, il nous faut voter. Car toute abstention de notre part, à ce moment opportun, constituerait une complicité objective avec les tenants du mondialisme qui œuvrent à notre sortie de l’Histoire.
Face aux fossoyeurs des peuples, nous devons répondre « PRESENT » !

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