LES FAUTEURS DE GUERRE NE SONT PAS CEUX QU’ON CROIT !

Dans nos démocraties marchandes, les fauteurs de guerres sont, pour l’écrasante majorité du public, ceux qui les déclarent officiellement. Ceux qui, les premiers, engagent l’action destructrice. N’apparaissent jamais, cependant, certaines forces responsables de leur déclenchement, du fait de leurs manœuvres occultes.  Même modus operandi pour les fauteurs de révolutions.   

En vérité, les vrais décideurs dans notre système oligarchique ne sont pas les politiciens qui paradent sous les projecteurs. Ce sont des puissances anonymes ou non qui tirent les ficelles en coulisses. Et parmi ces instigateurs, les PUISSANCES D’ARGENT s’arrogent la première place. Elles, dont le rôle délétère dans la politique des Etats occidentaux, n’a cessé de croître, pour devenir prépondérant et dangereux pour notre existence. Au point de façonner implacablement notre vision-du-monde.       

De facto, on ne lira nulle part chez nos faiseurs d’opinion, que les Grandes Révolutions anglaise (1648-1649), française de 1789 et russe de 1917 furent commanditées par ces banquiers internationaux dont les héritiers aspirent à devenir les seuls maitres du monde.    

Le grand public, bien évidemment, sera tenu dans l’ignorance de l’implication des manieurs d’argent dans les conflits internationaux. Parce que là encore, la poignée d’individus placée à la tête de banques internationales et de trusts apatrides qui régente le pouvoir politique et exploite éhontément l’économie, contrôle aussi l’opinion par les médias à sa botte.  

Cette opinion publique divinement malléable ignorera qu’au début du XXe siècle, des financiers américains réunis à la Fondation Carnegie s’accordèrent sur la nécessité de guerres généralisées pour promouvoir leur GOUVERNEMENT MONDIAL. (Cf. les comptes-rendus découverts en 1950 et reproduits en janvier 1976 dans la revue American Opinion de M. William HOAR). Mais là, n’est pas la seule intrigue !

1914-1918 : la première étape

Exemple majeur de leur pouvoir de nuisance : la Première Guerre mondiale. Elle fut notamment provoquée par des oligarchies financières pour démanteler des Etats monarchiques continentaux. Ce fut l’une des étapes du plan élaboré, à la fin du XIXe siècle, par le haut-gradé franc-maçon et luciférien Albert PYKE avec le révolutionnaire italien Giuseppe MAZZINI. Plan qui reposait sur trois guerres mondiales qui devaient aboutir après le renversement du pouvoir tsariste, à la destruction des nations d’Europe entre elles et enfin à un conflit global avec le monde musulman.

Autre exemple de cette manipulation des masses : la déclaration de guerre du régime de Washington, en 1917, au Kaiser. La raison invoquée serait une supposée dette morale envers la France (l’appui de Lafayette aux insurgés US). Balivernes ! L’entrée des Etats-Unis dans le conflit, relève de motifs plus intéressés. Elle résulte principalement de la pression de financiers sionistes sur le président Woodrow Wilson. Ainsi, en échange d’une intervention militaire US, nos philanthropes financiers obtinrent du Gouvernement britannique la création d’un Foyer national juif en Palestine (Déclaration Balfour). Qu’importe si le peuple américain n’était en rien concerné par le conflit franco-allemand. Qu’importe, s’il n’avait aucun intérêt à y participer. Il y fut poussé, malgré lui, par les intrigues du pouvoir financier qui en attendait de très juteux bénéfices.

On ne s’étonnera donc pas de voir ces mêmes requins de la finance internationale, peser de tout leur poids dans la rédaction du Traité de Versailles qui aboutit vingt ans après à un nouveau conflit mondial.

L’entre-deux guerres, une espérance fourvoyée

Mais tout plan n’est pas exempt d’imprévus. Les peuples d’Occident, dans l’entre-deux guerres, prirent conscience du péril bolchevique et de l’incurie des régimes parlementaires. Ils se détournèrent, les uns après les autres du système ploutocratique au profit de régimes nationalistes. Les puissances financières internationales qui dominaient alors le monde occidental prirent peur. On peut les comprendre ! Elles redoutèrent, en effet, leur détrônement par les révolutions spiritualistes et nationalistes en cours dans toute l’Europe.  Y compris aux Etats-Unis avec l’émergence populiste du Christian Front du père Coughlin, des Silver Shirts de William Pelley, du Bund germano-américain de Fritz Khun, ou des Défenders of Christian Faithe de Winrod…. 

Cette oligarchie financière couvrit d’or les menées bellicistes. Nous vîmes alors la collusion diabolique des démo-ploutocrates et des Bolcheviks. Il leur était insupportable de voir leur rêve d’hégémonie mondiale leur échapper.  

Rappelons, toutefois, qu’en 1939, aucun des peuples appartenant aux futurs Etats belligérants n’étaient bellicistes. Ni les Français, ni les Allemands, ni les Anglais. Les Accords de Munich – que les bien-pensants fustigent de nos jours – furent chaleureusement applaudis par les opinions publiques de ces pays.

Ajoutons, qu’à l’issue des deux guerres mondiales précitées, les banquiers internationaux en furent les VRAIS VAINQUEURS par leur mainmise sur les marchés mondiaux. Les avoirs de la FED qui se montaient à 5 000 000 000 $ en 1940 atteignirent 45 000 000 000 $ en 1946. La finance Etats-Unienne engrangea ainsi 40 000 000 000 $ pour ses transactions réalisées durant la Seconde Guerre mondiale L’infâme scandale fut que ces bénéfices pharamineux ne profitèrent nullement au peuple américain. Ils restèrent la propriété de la FED (Etablissement de banques privées) et non du Trésor Public.  

Depuis 1945

Bien évidemment, les forces financières et cosmopolites qui poussèrent puissamment les nations européennes à s’autodétruire au cours de deux guerres mondiales, n’ont nullement désarmé après leur éclatante victoire. Nous retrouvons aujourd’hui le même cartel bancaire à la manœuvre dans la plupart des conflits meurtriers qui ensanglantent la planète. Dernier en date, la déstabilisation de pays du Moyen-Orient qui engendra le chaos et une submersion migratoire planifiée par les laquais des instances européennes.  

Voilà où mène la folle obsession des décideurs internationaux dans leur quête d’un monde unifié. Installés principalement outre-atlantique, ils semblent indétrônables. Parce que le pouvoir de Washington repose à la fois sur le complexe militaro-industriel et une conjuration de coteries mondialistes. C’est « L’ETAT PROFOND » qui se joue des alternances présidentielles. N’hésitant ni à occire, ni à truquer les élections (dernière victime Donald TRUMP).  

On retiendra cependant que les guerres menées par Washington et « l’Occident », répondent à des nécessités économiques, en plein accord avec l’oligarchie financière. C’est « Jackpot ! », en effet, pour les prêteurs d’argent et marchands d’armes. Toutefois, les dirigeants américains sont cohérents avec eux-mêmes. Le monde bisounours qu’on nous vend chez nous, n’existe pas chez eux. L’histoire reste pour eux, un combat sans état d’âme pour gagner encore plus en puissance et richesses. Une volonté de puissance qui fait cruellement défaut chez nos ilotes européennes.

Dès lors, on comprend que c’est l’oligarchie financière qui intervient souverainement dans la conduite des guerres. Non plus les chefs d’Etats devenus les jouets des humeurs de l’opinion publique. Voilà le sort peu enviable de nos démocraties occidentales. Avec toutefois une différence notable …

Autrefois, on portait la guerre sur d’autres contrées, pour agrandir son territoire et amasser des richesses pour sa communauté, son peuple. De nos jours, l’objectif est d’accroitre les profits des seuls banksters, en détruisant les traditions et cultures des peuples, obstacles à leur domination mondiale. Le conflit ukrainien commencé en 2014, sous couvert de l’OTAN, répond aux mêmes exigences. Sauf, que le spectre d’une TROISIEME GUERRE MONDIALE se profile aujourd’hui à l’horizon. Et que les positions bellicistes de l’Union européenne nous préparent psychologiquement à l’affrontement final. Pour qui ? Pour quoi ? Pour SAUVER LEUR SYSTEME BANCAIRE de son prévisible effondrement !   

Hors de question, par conséquent, que les Européens naturels servent une nouvelle fois de chair à canon. Le sang européen a suffisamment coulé pour des causes souvent illégitimes. Et il serait démentiel d’y consentir, à nouveau. Surtout pour satisfaire des pouvoirs apatrides, des adorateurs du Veau d’or qui travaillent d’arrache-pied à notre destruction.

Leur totalitarisme planétaire, les peuples n’en veulent pas !    

Jakez GWILLOU ( 20 avril 2023)  

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