Tout patriote breton sait que l’occupant français n’a de cesse de détruire notre identité ethnoculturelle, d’occulter notre Histoire, pour nous fondre dans un hexagone régi par des principes universels. C’est-à-dire des principes cosmopolites qui, s’ils favorisent nécessairement les gens extérieurs à notre peuple, réduisent ipso facto à peau de chagrin, nos droits naturels.
Aujourd’hui, un nouveau seuil est franchi. Une véritable colonisation de peuplement se déroule sous nos yeux. Conséquence tragique des folles politiques d’immigration et « d’ouverture » imposées par Paris et les régimes de l’Ouest-Européen. Toutes inspirées par le pouvoir profond et intouchable. En bref, une entreprise de subversion à l’échelle de notre continent.
Cette entreprise démoniaque n’épargne aucune de nos nations, y compris celle, chère à nos cœurs : l’Irlande. Car, avec Léo Varadkar, son premier ministre, nous avons-ici, la parfaite illustration de cette démocratie cosmopolite qui, après avoir prêché l’égalitarisme et l’antiracisme (traduire l’antiblanc), veut déposséder maintenant nos frères irlandais de leur mémoire ethno-nationale.
En souhaitant la destruction de la statue du patriote Sean Russel, membre de l’IRA et combattant de la guerre de libération nationale, Léo Varadkar se comporte en « fils » indigne de l’Irlande. Par ses propos révoltants, il démontre que son intégration est, somme toute, incomplète voire superficielle. Sa mère étant irlandaise, il aurait pu et dû se sentir concerné. Il ne l’est pas ! Ce qui devrait, en toute logique, nous interpeller sur la législation à définir pour l’Europe de demain. L’Europe identitaire aux cent drapeaux. Une Europe libérée renouant avec son passé.
Quand Léo Varadkar déclare sur RTE 2FM qu’il y a « un problème, en Irlande avec le racisme » et que « tous les pays du monde ont un problème avec le racisme à un certain degré », il énonce une évidence. Mais il omet volontairement d’en expliquer les justes raisons. Quand un peuple – quel qu’il soit – se voit envahi par des populations qui ne lui sont pas apparentées, il se produit inévitablement un phénomène de rejet. Distanciation géographique et sociale, tout d’abord, puis émergence de conflits pouvant conduire au chaos.
Quand il dit s’inquiéter « de voir que les jeunes de couleur qui ont grandi en Irlande sont traités comme s’ils n’étaient pas entièrement irlandais. », il donne dans le registre victimaire. C’est de l’inversion accusatoire. C’est parce que ces jeunes ne se sentent pas entièrement irlandais, qu’ils éprouvent un mal-être évident. Lequel est dû évidemment toujours et encore aux éternels fautifs que sont les autres, les autochtones, les occupants arrivés avant eux et créateurs d’une haute culture, les Européens de souche sortis des entrailles de cette terre.
En bon élève du système républicain, Léo Varadkar prend naturellement les précautions oratoires d’usage, en rappelant « qu’il ne veut pas mettre un terme à la liberté d’expression » mais qu’il a « besoin d’une campagne antiraciste et de sensibilisation ». Oui, on y croit vraiment ! Toujours ces tartes à la crème dont on nous rebat les oreilles, tout en nous bâillonnant, nous, les autochtones, à coups de lois liberticides répétitives…On connaît l’antienne.
Or, pour remédier au racisme – phénomène planétaire – dont on ne sait ce qu’il signifie exactement, parce que chacun y met son interprétation personnelle ( ne pas vouloir cohabiter avec certains groupes ethniques, comme on peut très bien aimer ou ne pas aimer tel ou tel plat gastronomique, est-ce raciste ?), c’est très simple. Référons-nous à l’histoire des peuples au cours des millénaires passés. Recourons à cette formule qui a été partout la règle : « Une terre, un peuple ! ». Un peuple homogène, s’entend. Et, les peuples n’en vivront que mieux et en bonne intelligence.
Cependant, ce Leo Varadkar, métis de son état, n’est pas seul à vouloir imposer la doxa indigéniste. Soutenus par les affairistes mondialistes, et sûrs (pour l’heure) de leur impunité, d’autres « Varadkar » bien insérés politiquement et socialement partent aussi à l’offensive. Contre les autochtones qu’ils prétendent représenter au nom d’un piège électoral sans valeur. Et, surtout pour arracher de nouveaux privilèges en faveur des allogènes.
La solidarité ethnique qu’ils manifestent est toutefois bien compréhensive…car naturelle et saine. Nous autres Européens, hélas, sommes dépourvus actuellement, d’un tel comportement pour avoir trop écouté de mauvais maitres. Il n’en reste pas moins que ces provocations verbales à l’encontre de nos illustres ainés constituent des déclarations de guerre. Et que les soi-disant appels à « vivre ensemble », signifient tout simplement « vivre avec un genou à terre » en permanence pour expier notre existence de Blanc.
Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter les porte-paroles des manifestations pro-racailles, ils ne dissimulent plus leur fond de pensée. Pour eux, tant que l’Europe n’aura pas été totalement vidée de la moindre référence de notre passé, du moindre souffle de vie rappelant notre essence ethno-raciale, il n’y aura aucune trêve. Nous voilà prévenus.
Puisqu’ils ont annoncé la couleur, défendons la nôtre !
Jakez GWILLOU (21 juin 2020)