LA NATION ET LES MALADES MENTAUX DE LA PRÉTENDUE »REVOLUTION » FRANÇAISE. NATION BRETONNE, NATION FRANÇAISE.

NOMINOE, CHEF DE TOUTE LA BRETAGNE, DUX TOTIUS BRITTANIAE. LA NATION  BRETONNE SOUS LE DUX NOMINOE. | Le blog de Louis Melennec
Louis Melennec

En 1789, des malades mentaux ont tenté, par un trait de plume, de supprimer de vieilles nations, plus antiques que la France. Parmi elles, les Bretons, les Basques, les Alsaciens, les Savoyards.

Les Nations ne se créent ni par des traits de plume, ni par des lois, ni par des décrets, ni par des dérangements de l’esprit. Ceux qui ont instauré cette fausse religion par la violence, sont d’ailleurs morts sur l’échafaud. Les nations sont le fruit de l’histoire des peuples qui ont vécu ensemble de longs siècles, partagé les mêmes valeurs, les mêmes peines, les mêmes joies, souvent parlé les mêmes langues, sur un territoire qui leur appartient, en aucun cas à leurs ennemis, à plus forte raison si ce territoire leur a été volé par la force, et si cet ennemi s’y maintient seulement parce qu’il détient le manche de la cognée.

Les Bretons, persécutés par leur voisin depuis des siècles, castrés de leur langue, de leur culture, de leurs institutions ancestrales, ont, en parfait accord avec les principes du droit international, réécrit ce qui est maintenant considéré comme un droit de l’homme, un VRAI :

« Chaque être humain a droit à son identité, à ses sentiments, à sa personnalité, à ses pensées. Il est le seul à avoir le droit de choisir et d’adhérer à la nation qui est la sienne. Ce droit est sacré. Son titulaire est seul qualifié pour y renoncer, s’il le souhaite. Tout pays qui tenterait de lui imposer une nationalité qu’il n’a pas choisie est hors la loi internationale, et doit être sanctionné sévèrement ».

A répandre partout dans le monde : ce principe est universel.

Louis Melennec

Un commentaire

  1. Merci, une nouvelle fois au Docteur Louis MELENNEC de nous rappeler les fondements réels de l’ordre naturel du monde, que des fous s’acharnent à détruire depuis le siècle des ténébreuses… « Lumières ». La souveraineté d’un peuple sur sa terre demeure, en effet, un principe sacré et inaliénable, qui prime toute autre considération. Que celle-ci émane d’une république laïque jacobine donneuse de leçons que d’une organisation supranationale baptisée ONU ou autre.
    Cependant, si « les Bretons sont en parfait accord avec les principes du droit international », force est de reconnaître que le Droit international appliqué depuis toujours est à géométrie variable, et qu’en réalité, c’est la loi du plus fort qui prime : Force militaro-industrielle, force financière apatride, force politico-religieuse. Sans la volonté de puissance, sans une foi inébranlable dans notre être national breton et son devenir, ce sont les autres qui continueront à écrire l’histoire….

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