Une fois encore, le pouvoir légal, à défaut d’être légitime, a choisi son camp. Celui du mondialisme, de l’étranger non assimilable et de la destruction de l’essence de notre civilisation européenne. Et ce n’est pas le refus systématique de l’Etat républicain d’intervenir dans les banlieues en sécession, en proie à l’islamisme et à la criminalité autorisée, qui nous démentira. Devant cet abîme qui s’ouvre sous nos pieds, de plus en plus de nos compatriotes s’aperçoivent que leur libération ne viendra pas de cet ennemi institutionnel qui leur a déclaré la guerre. Le désarroi et le dégoût sont tels aujourd’hui, que si demain, la Providence aidant, une intervention extérieure (européenne, évidemment) se manifestait pour remettre de l’ordre dans notre pays, peu de nos semblables s’y opposeraient. Un nombre certain, même, irait jusqu’à les applaudir où les soutenir…