DARMANIN : LA CHASSE AUX AUTOCHTONES INSOUMIS

Quelle mouche a donc piqué Gérald Moussa Darmanin pour le rendre fou furieux au point de réserver tout son venin à l’égard d’un mouvement nationaliste aux actions résolument pacifiques ? Alors que, dans le même temps,son laxisme (ou complicité inavouable) hérité de ses prédécesseurs s’étale sans honte à l’encontre des nervis gauchistes et des bandes ethniques qui transforment l’Hexagone en un champ de bataille qui, demain, sera comparable à ceux du Liban, de la Syrie ou de la Tunisie, si nous ne mettons pas le holà !  

En bon Sinistre de l’Intérieur d’une république maçonnique qui n’en finit pas de pourrir notre environnement culturel, spirituel, ethnique et matériel, notre brave Gérald a voulu montrer ses petits poings. Il a décrété « Ennemi numéro un » tous ceux qui refusent de se faire broyer par une immigration massive. Et qui, de facto, constituent des obstacles à abattre, pour que s’instaure la gouvernance mondiale des prophètes de malheur. 

Cette volonté exterminatrice s’inscrit dans la suite logique des dissolutions de mouvements nationalistes dont le crime inexpiable est, depuis un demi-siècle, de s’opposer fermement à toute colonisation de peuplement. La bobine du sieur Darmanin, à cet égard, nous restera en mémoire. Comme celles de tous les Tartarins de la Place Beauvau qui ont donné la patte à ces dissolutions infâmes. Des dissolutions entérinées par des lois liberticides, au mépris du Droit naturel ou par interprétation abusive. Sans qu’à aucun moment, le régime n’ait été mis sérieusement en danger par les structures en question. Ce que certains regrettent assurément au vu du chaos actuel. La particularité des organisations patriotiques dissoutes ? Leur indéfectible opposition au régime en place et un militantisme actif en pleine croissance. Ce qui ne peut que déplaire aux maitres du moment, auxquels il importe d’étouffer dans l’œuf toute opposition véritable, toute pensée dissidente.

Certes, en tant que « Gwir Vretoned » ou « Brezhourion », nous pourrions nous désintéresser du sort du mouvement Génération Identitaire. Ce serait une grave erreur. Car sa dissolution signifierait que toute action future en faveur d’une identité européenne, qu’elle soit bretonne, basque, corse ou flamande serait désormais vouée au bûcher cosmopolite. Tout cela, sous le prétexte d’une « provocation publique à la haine raciale » qui n’existe que dans le cerveau malade de ceux qui aspirent à la destruction de notre socle biologique. Oui, les Identitaires militent contre l’immigration massive, le racisme antiblanc et pour la Remigration. Et alors ? Ce sont-là des thématiques qui nous sont chères, à nous aussi, car primordiales et incontournables si nous voulons sauvegarder notre identité bretonne et instaurer demain l’Etat national breton de nos vœux. 

Autre motif de notre soutien, est le rapport de force existant entre le Système et ses opposants qui, actuellement, ne penche pas outrageusement en notre faveur. Il s’agit d’affronter un système bien huilé qui ne doit son maintien qu’au comportement moutonnier de nos semblables et à un endettement encore supportable. Nous devons faire face aux puissances financières, médias aux ordres, lobbies anti-autochtones, gouvernants à la solde de l’oligarchie mondiale et disposant d’un arsenal répressif des plus sévères avec en prime…un Rassemblement national qui endort l’autochtone pour paraitre « convenable » aux yeux de ceux qui veulent notre disparition. Dans ces conditions, IL EST VAIN DE MENER SEUL LE COMBAT. Tout aussi dérisoire de crier « Victoire » quand une municipalité arbore le Gwenn-ha-Du, qu’une rue est rebaptisée où qu’une famille anglaise quitte notre péninsule, pendant que le tiers-monde s’installe illégalement dans nos rues. Avec, bien souvent, l’arrogance du conquérant à qui tout est dû…

Notre continent n’étant plus désormais le sanctuaire inviolé du monde blanc, par application de principes libéraux et marxistes, nous devons coûte que coûte renforcer nos solidarités naturelles avec ceux qui nous sont apparentés historiquement, culturellement et ethniquement. Certes, des divergences d’ordre doctrinal ou programmatique existent entre les Identitaires et les Nationalistes bretons. Mais la dure réalité nous impose de nous adapter à la conjoncture du moment, comme nos prédécesseurs du PNB ont su le faire avec courage et fermeté.  

Indissolublement Bretons et Européens, nous condamnons la procédure de dissolution de Génération Identitaire comme de toute autre structure non inféodée, parce que nous refusons la dissolution de l’Europe à laquelle aspirent l’élite financière et des gouvernants félons.

L’histoire des deux derniers siècles nous enseigne que la désunion des forces saines aboutit inéluctablement à la défaite. Si l’union ne se réalise pas naturellement entre les Nationalistes, les Patriotes et les Identitaires, soyons-sûr d’une évidence : l’Etat jacobin se chargera lui-même de les réunir demain dans des lieux privilégiés, où ils pourront méditer, en toute quiétude, sur la valeur de leurs divergences partisanes. Inutile de vous faire un dessin…

Assez de querelles infantiles, il y a le feu à la maison EUROPE !

Jakez GWILLOU (23 février 2021)

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