COVID-19: UNE MANIPULATION DES MASSES

L’irruption du Covid-19, accident fortuit ou provoqué à dessein, nous a valu une magistrale manipulation. Que cette technique soit employée sur les masses, à l’occasion d’une épidémie non massivement mortelle, nous questionne inévitablement. Tant sur ses instigateurs, que sur les véritables buts poursuivis.  

Acteurs et inspirateurs de la manipulation 

Au cœur de cette manipulation, nos incontournables médias mainstream qui en ont assuré le plein succès. Des médias qui, tous, appartiennent à des milliardaires ou banquiers dont le cosmopolitisme est le dénominateur commun. Rien donc de plus naturel que ces outils de propagande relaient les mots d’ordre de leurs maitres. Ceux de la caste globaliste. Une hyperclasse mondiale qui dirige ou influence TOUS les organismes internationaux. Nul étonnement donc, quand, par leurs soins, l’épidémie du Coronavirus est rebaptisée … PANDEMIE ! Terme excessif au vu des vraies pandémies. Mais repris en chœur par tous nos perroquets de l’Establishment médiatique et politique.   

De quoi susciter une peur bien légitime dans les populations. Peur amplifiée par un discours médiatique volontairement répétitif et alarmiste. Big Pharma peut s’en réjouir. Cependant, cette hystérie publique est infondée selon d’éminents professionnels de la médecine. Des personnalités indépendantes de l’industrie pharmaceutique qui affirment que les masques ne protègent rien car le virus se transmet par les mains ; que le virus n’est mortel que pour les personnes âgées souffrant de certaines pathologies ; que le confinement généralisé est injustifié, et que le traitement à la chloroquine (peu cher, il est vrai) nous aurait épargné de nombreux malades et morts.

En foi de quoi, le pouvoir central et sa valetaille les taxent de… zozos ou complotistes ! Et, contre toute attente, nous imposent une dictature sanitaire : confinement généralisé aux conséquences sanitaires et économiques désastreuses, couvre-feu, chasse aux promeneurs solitaires, interdiction de la chloroquine (en vente libre, avant le diktat), etc. Et malheur aux voix dissonantes. Leurs auteurs peuvent s’attendre à la relégation sociale, ou pire encore.  Tout dernièrement, le documentaire « HOLD-UP » diffusé sur les réseaux sociaux a vu l’ensemble des médias institutionnels archi-subventionnés faire « chorus » contre cette diffusion « iconoclaste ». Une unanimité des plus inquiétantes…

En vérité, on nous ment à propos d’un virus qui n’est pas plus mortel qu’une mauvaise grippe saisonnière. Un virus qui n’affecte sérieusement qu’une catégorie restreinte de la population, qu’un confinement ciblé aurait rapidement neutralisé. Reste que la gestion macronienne aussi catastrophique qu’absurde, ne peut s’expliquer que par la poursuite de buts préalablement définis. Mais qu’il est importun de soumettre au vulgum pecus. 

Mais voyons plus haut et plus loin. Les inspirateurs de l’Union européenne, on le sait, sont établis outre-Atlantique. Entre autres exemples, Bill Gates, associé au groupe Rockefeller et à l’OMS qu’il finance. Ce mondialiste lié aux puissances obscures, prétend vacciner la terre entière. Il veut nous implanter des nanoparticules biométriques, par le vaccin, pour nous identifier. Son plan de traçabilité numérique, il l’a dévoilé, en 2019, au cours d’un exercice de simulation nommé « Event 201 », coorganisé avec le Forum économique de Davos. Le sujet en question ? Une pandémie mondiale de …coronavirus ! Pur hasard ? Et l’on apprend que son « certificat numérique », délimitera à terme, des droits et des services !!!!

Bien sûr, nos autorités complices des vrais maitres du monde, nieront formellement tout port identification numérique, tout fichage individuel. Mais, derrière le discours officiel et humaniste, il en sera fini de nos dernières libertés. Impossible d’échapper dans le futur, à notre surveillance permanente et insidieuse. Sera réalisé le contrôle total des populations, sans espoir de retour.  

Ces prétentions et manœuvres mondialistes nous interrogent fatalement. Pourquoi les assemblées regroupant chaque année la fine fleur des décideurs et influenceurs mondiaux (financiers, politiques, économistes, journalistes…), ne divulguent-elles pas le contenu de leurs interventions, auprès du grand public ?  Pourquoi ces organismes supranationaux aussi puissants que discrets (Trilatérale, Bilderberg Group, Rockefeller, Davos, G7, G20, Le Siècle…) se réunissent-ils à l’abri des regards ?  Au nom de quels droits ou principes, débattent-ils de l’avenir du monde sans en référer à leurs concitoyens respectifs ? Quelles consignes ou suggestions leurs affidés doivent-ils mettre en œuvre dans leurs domaines respectifs ?  Derrière cette main cachée qui dirige, rien donc de très sain…Pourtant, ce sont ces « élites » dissimulatrices qui traitent les esprits critiques de conspirationnistes….  

Des buts conformes à l’agenda mondialiste   

A l’évidence, notre manipulation par le pouvoir central, répond à l’agenda de l’hyperclasse mondiale. Leur Nouvel ordre mondial, on le sait, requiert la disparition des frontières et le brassage des populations non apparentées. Mais aussi, en filigrane, la destruction des classes moyennes. Or, les confinements généralisés de l’année 2020 aboutissent précisément à la destruction contrôlée de certains secteurs l’économie réelle. C’est là, une guerre totale des multinationales contre les commerces indépendants. Et la finance spéculative s’en frotte fébrilement les mains…

D’autres buts témoignent du même machiavélisme. Il est d’habituer les populations aux restrictions de leurs libertés. De leur enseigner la nécessité d’un recours permanent à un organisme mondial. De leur faire accepter leur contrôle vaccinal avec le contrôle numérique. Et autres couleuvres. Par ce plan d’asservissement des nations, il sera loisible ensuite à un gouvernement mondial totalitaire de procéder sans entrave, à toutes les mesures impératives qu’il jugera utiles : réduction drastique du nombre d’habitants de la planète, racket généralisé des épargnants pour éponger la dette colossale des nations, disparition totale de l’argent liquide au profit de la monnaie numérique, etc.  

D’où la nécessité présente pour les marchands d’illusions et financiers apatrides, d’une refonte globale du système d’échange mondial. D’un programme-choc pour perpétuer leur mainmise sur ledit système. Ce que nos ploutocrates-décideurs appellent la « Grande Réinitialisation ». 

Cette « Réinitialisation », Christiane Lagarde, directrice du FMI l’avait préconisée le 25/01/2014 au Forum économique mondial de Davos. En 2017, Klaus Schwab, directeur dudit forum, l’évoquait aussi dans son ouvrage « La quatrième révolution industrielle » accompagné d’une adresse d’Emmanuel Macron. Puis, dans l’ouvrage  « The Great reset » publié en juillet 2020, Schwab donnait ses consignes et précisait sa pensée : le « remplacement des idées, des institutions, processus et règles actuels ».

En langage clair, c’est fonder par la méthode maçonnique « Ordo ab Chaos », un nouveau monde. Un monde subverti qui sera l’antithèse de l’ordre naturel voulu par La Providence. Adieu donc, la diversité du monde. Adieu les peuples différenciés, les nations historiques, les traditions séculaires, nos modes de pensés, nos croyances, notre vision du monde…

Réagir ou devenir des esclaves

Si les perdants de la crise sanitaire sont les peuples, les gagnants ou profiteurs seront assurément Bill Gates, Big pharma, les autorités établies, l’OMS, les banques centrales… Et la ploutocratie triomphante deviendra plus tyrannique encore.  

En l’espèce, nous avons affaire à des fous furieux qui veulent créer le paradis terrestre, au nom d’un délirant messianisme matérialiste. Et il n’aura pas échappé aux catholiques non décérébrés, qui ont lu l’Apocalypse selon St-Jean (Ch.13, verset 16-17), que l’identification numérique rappelle étrangement la marque de la Bête. Car le choix depuis deux millénaires reste finalement le même :  le règne du Christ ou celui de Mammon. Et servir le Veau d’or est, sans conteste, l’apanage des mondialistes lucifériens, illuminés ou libertariens.  Qu’ils s’appellent Jacques Attali, Georges Soros, Bill Gates, Rockefeller et consorts.

Fort de son pouvoir de nuisance, ce gang d’affairistes internationaux règne sur un monde apostat qui facilite hélas toutes les impostures. Celle du Covid-19 comme celle du pseudo-réchauffement climatique. Et toutes deux œuvrent, bien entendu, dans la même direction : la « mondialisation heureuse ». Un monde totalitaire et cauchemardesque.

Face aux suppôts du mondialisme, nous devons donc réagir en dissident. Considérer l’Etat profond comme l’ennemi véritable, l’ennemi premier. Réfuter tous les discours émanant des structures mondiales (ONU, GIEC, FMI, OMS…) ou nationales qui leur sont inféodées. N’accorder aucun crédit aux médias mainstream, leurs caisses de résonance. Et, bien évidemment refuser tout marquage numérique via leur vaccin-poison. Nous ne sommes pas des bêtes !  

Ne soyons pas dupes des Sages de Davos et de leurs protocoles. Sinon demain, leur fiction deviendra notre réalité.

Jakez GWILLOU (11 décembre 2020)

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