BRETON LIVES MATTER !

BRETON  LIVES MATTER !

Sous la bannière de « l’antiracisme contre les violences policières », une nouvelle offensive inspirée par l’oligarchie mondialiste, frappe tour à tour nos pays d’Occident. « Black Lives Matter ! » voilà le nouveau cri de guerre de cette manipulation des populations afro-américaines d’outre-Atlantique et d’essence allogène en Europe. 

Mais en quoi le trépas de crapules sur le sol américain ou européen devrait-il susciter l’émoi de quiconque est soucieux de la loi et de l’ordre ? Pourquoi des faits divers dont rien ne vient accréditer la thèse d’un crime raciste ont-ils engendré cette avalanche d’émeutes et de manifestations hystériques de haine antiblanche ? Dans notre monde décadent et déboussolé, où l’on croit chaque jour avoir touché le fond, on ne peut que s’interroger, nous les autochtones, sur ces actes avant-coureurs de guerre civile.

UNE DERIVE BELLICISTE

A l’évidence, nous entrons-là dans une phase nouvelle de la subversion cosmopolite.  Par la radicalisation des discours et des actes. Ainsi, voyons-nous l’émergence de groupes racialistes-suprémacistes sub-sahariens, d’indigénistes ou d’anticoloniaux qui prennent conscience à la fois de leur nombre grandissant et de la lâcheté des pouvoirs publics. Leurs porte-paroles arrogants autant que clownesques clament leur hostilité haineuse à l’égard de notre histoire, de notre culture, de tout ce qui porte la marque de l’homme blanc. Ils veulent nous imposer une relecture de notre passé colonial, des réparations financières, suivant en cela une pratique déjà mise en œuvre par d’autres sur notre passé « vichyste ». De surcroit, ils exigent notre agenouillement collectif pour de prétendues fautes commises par nos pères. On tombe ici en plein délire auquel malheureusement, certains des nôtres, lobotomisés, souscrivent par une attitude humiliante qui nous écœure. 

Après un antiracisme à la sauce républicaine, qui affichait les slogans bon enfant « droit à la différence », « égalité des chances » et le bisounours « vivre ensemble », nous avons droit désormais au procès en sorcellerie de notre peuple, pris dans sa dimension raciale. Au cours des dernières manifestations, non autorisées mais tolérées, on a vilipendé, entre autres, le soi-disant « PRIVILEGE BLANC » !!!! En ignorant, semble-t-il, que le sol européen est le berceau de l’humanité blanche, dont les peuples d’origine arya sont les dépositaires légitimes. Tout comme les autres continents sont l’apanage exclusif de peuples d’un socle biologique différent.

En fait de « privilège blanc » qui devrait régir normalement nos rapports sociaux, comme il existe des privilèges de même nature chez les  peuples de couleur, notre Etat républicain applique tout au contraire, sous une phraséologie égalitariste, la PRIORITE  ETRANGERE, en tous domaines : Déclaration universelle des-droits de « l’homme », bannissement du nationalisme et de la fierté nationale, législation répressive dite antiraciste c’est-à-dire antiblanche, abolition de la préférence nationale et enfin la « discrimination positive » en faveur des allogènes. On nous dénie ainsi le droit d’être maitres de notre destin. Certes, il existe bel et bien un racisme. Mais c’est un racisme d’Etat, un racisme antiblanc. Racisme que partagent par un ressentiment absurde, des populations déracinées. Aussi, parler de privilège blanc relève du pur désordre mental.      

DES SOUTIENS VARIES ET AVARIES

Là, encore, comme toujours, nos fabricants d’opinion sont à la manœuvre. Par leur soutien massif et inconditionnel, les médias mainstream ont contribué puissamment à la contagion de ce mouvement pro-racailles. Lui ouvrant des perspectives ignorées à ce jour. Car, derrière « Black Lives Matter », ne s’agitent pas seulement les mouvements gauchistes, antifas et asociaux de tous poils prônant la convergence des luttes. Y concoure tout ce que le monde occidental compte de progressistes bon teint. Mais aussi les pouvoirs institutionnels nationaux et européens qui n’ont rien vraiment de national ni d’européen.

Bien entendu, notre Etat antinational participe à cette campagne calomnieuse à vocation génocidaire. Dès le départ, il a choisi son camp en désavouant sa police considérée comme « raciste », laquelle doit se mordre les doigts d’avoir si bien défendu les portes de l’Elysée en 2018 lors de la révolte des Gilets Jaunes. N’est pas en reste, non plus, ce Parlement européen qui, dans sa résolution du 19 juin dernier, condamne « les slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement Black Lives Matter  et à en diluer la portée ». Texte adopté (493 voix pour, 104 contre, 67abstentions). Et, qui plus est, invite les Etats membres de l’Union européenne à accroitre la diversité au sein des forces de police….

Qu’un tel parrainage émane de nos institutions nationales et européennes, doit-il nous étonner ? Nullement. Il s’explique par leur soumission aux donneurs d’ordre. C’est-à-dire le pouvoir financier anonyme et vagabond dont l’une des figures emblématiques est le milliardaire cosmopolite Georges Soros et son Open society. Individu au faciès menaçant et grimaçant acharné à la perte du monde occidental. Cette alliance d’un représentant du Grand Capital avec le mouvement subversif « Black Lives Matter » n’est pas une première. L’histoire fournit nombre d’exemples d’union de la Haute finance avec les mouvements révolutionnaires. Le plus connu, celui de la révolution bolchevique russe de 1917 qui doit son déclenchement et succès au fantastique financement des banquiers cosmopolites américains.

Le partenariat actuel s’impose naturellement à l’esprit, quand on sait que ce mouvement raciste et suprémaciste n’est nullement dirigé contre le système mondialiste, dont il sert inconsciemment les intérêts. Car, en détournant la contestation des peuples contre le Système vers une confrontation horizontale entre les peuples et en poussant au chaos, l’oligarchie mondialiste avance adroitement ses pions pour atteindre le but ultime : le gouvernement mondial. La formule « Ordo ab chao » répétée ad nauseam dans les chambres de réflexion (Loges) de nos démocraties virtuelles, reste plus que jamais, à l’ordre du jour.   

POUR UN ETHNO-DIFFERENTIALISME  

Cette attaque anti-occidentale présente toutefois un mérite. Elle réintroduit le concept de « race » dans le discours public, après qu’on nous ait forcé à admettre, contre l’évidence, que les races n’existaient pas. Et après qu’un tel mot ait été banni de notre Constitution par nos élus aux oreilles très délicates. C’est le juste retour des réalités naturelles, auxquelles le Catalan renié Manuel Valls prête la main bien involontairement. Sa formule « La lutte des classes disparait au profit de la guerre entre races », exprimée dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles du 18 juin, est un constat d’évidence. Comme un bienfait n’arrive jamais seul, le concept de religion fait, lui aussi, sa rentrée en force sur nos terres labourées depuis plus d’un siècle, par un laïcisme effréné et l’idéologie marchande des droits de l’homme. Et, comble de l’ironie, du fait de populations allogènes introduites chez nous par les soins pervers de nos sectaires à tablier en peau de cochon. Retour boomerang de l’équerre maçonne dans leurs faces d’illuminés !

Face au concept de la race, nos positions sont claires. Nous ne sommes pas suprémacistes, bien que nous ayons des titres pour y prétendre. Il suffit de se remémorer notre immense apport civilisationnel au monde. Mais si on ne doit pas prétendre à la supériorité d’une race sur d’autres, néanmoins, on ne peut nier que des différences existent entre elles. La théorie de la distinction des races ne relève d’aucune haine raciale mais d’un constat universel nié par les seuls idéologues marxistes.

En règle générale, les Européens n’ont pas à se justifier d’être ce qu’ils sont, et à tolérer quelque attaque que ce soit envers leurs ancêtres et leurs croyances. Ce que la civilisation occidentale a apporté au monde entier justifie, tout au contraire, que les populations de nos ex-colonies nous tressent des montagnes de lauriers. N’entrons pas dans les détails, la liste serait trop longue….Nous devons absolument affirmer notre identité ethnique, vivre selon nos mœurs propres et non pas singer celles d’envahisseurs quels qu’ils soient. NOS ETHNIES EUROPEENNES SONT LA BASE MÊME DE NOTRE CULTURE.  D’où la nécessité de rester fidèle à notre héritage biologique et civilisationnel car nous sommes responsables de sa transmission aux générations suivantes.  

A l’opposé des partis institutionnels des Mélenchon-Macron-Jadot-Le Pen, qui nous servent un infâme brouet national à base d’ingrédients disparates via la moulinette jacobine, il nous faut nous COMMUNITARISER. Nécessité oblige ! Pour se faire respecter d’abord et assurer la reconquête de nos droits naturels. On ne fera donc pas l’impasse sur l’ethno-différentialisme. Chaque groupe humain ou race doit vivre et se développer dans sa sphère d’origine. Avec pour conséquence immédiate, l’éradication de tout racisme.

QUID DES BRETONS ? 

Chez les Bretons, a toujours existé un fort sentiment d’appartenance à une communauté spécifique, à une communauté ethnoculturelle. D’où un sentiment de solidarité implicitement lié à la communauté de sang qui se définit non seulement par les traits physiques mais aussi par les TRAITS DE L’ÂME, un esprit, une mentalité. Cette âme bretonne si bien magnifiée par l’éminent Charles Le Goffic (1863-1932). Car la « race » ne se réduit pas à une simple couleur de peau comme pourraient le croire des esprits superficiels. Les caractères somatiques d’un peuple sont indissociables de ses éléments psychologiques et moraux. Chaque race est le produit d’une évolution génétique plurimillénaire et d’un environnement particulier. 

Ainsi, par son environnement géographique et ethnique, la Bretagne s’inclut dans une communauté charnelle et culturelle, la Celtie, elle-même partie intégrante d’une communauté plus vaste : l’Europe.  Une Europe qui ne doit sa primauté dans la marche du monde, au cours des derniers siècles, qu’à l’excellence de son sang. Or, la Bretagne et les autres nations européennes, sont menacées dans leur existence physique et spirituelle par la submersion migratoire. Elles doivent s’unir pour ne pas périr sous le nombre, et c’est sur le terrain idéologique du WHITE LIVES MATTER ouvert à leur corps défendant par les racialistes antiblancs, que nous devons nous sentir mobilisés.

Donnons à nos nationalismes locaux, une dimension européenne pour répondre aux assauts croissants du mondialisme financier, et au scénario catastrophe prophétisé en 1973 par Jean Raspail dans son ouvrage « Le Camp des Saints ». Revenons au seul nationalisme authentique : le nationalisme ethnique car les hommes comme les cultures ne sont pas interchangeables. 

Pour les peuples extra-européens, nous sommes et resterons des Blancs et des Croisés. Prenons en acte. Et soyons en fiers ! 

Jakez GWILLOU  ( 5 Juillet 2020 )

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