Dénoncer le Mal absolu, qu’il soit politique ou religieux, vous expose aux pires ennuis, quand vous n’appartenez pas à certaines communautés ou castes aussi privilégiées qu’intouchables. L’actualité nous le rappelle tout récemment encore :
Pour avoir dénoncé l’emprise de l’islamisme sur sa ville de Trappes, Didier Lemaire professeur de philosophie, vit désormais sous protection policière. Son témoignage donné le 8 février dernier sur la chaine TV CNews est sans appel. Témoignage, rappelons-le, d’un pur défenseur de la laïcité et non d’un de ces autochtones crucifiés sur l’autel de la bien-pensance pour leur extrême-patriotisme.
Quels propos outrageants a donc tenu ce brave homme ? : « Nombre de ces enfants sont élevés dans la haine de la France. Il faut des lois d’exception qui visent l’ennemi et ne s’appliquent qu’à l’ennemi. Mes élèves, d’une façon générale, ne se sentent plus Français, du tout. Ils ont d’autres mœurs. Les filles sont soumises aux garçons, il n’y a plus de lieux mixtes. Ils ont gagné. TRAPPES, C’EST UNE VILLE PERDUE », etc. Bravo, Monsieur le professeur pour avoir décrit la réalité du « vivre ensemble » dans cette ville devenue étrangère. Encore eut-il fallu en désigner aussi les causes pour être complet. A savoir l’idéologie droits-de-l’hommarde et l’immigration massive. Mais son constat est des plus exacts. Il bouscule les tabous imposés par la doxa cosmopolite. Et nous donne une vision cauchemardesque de l’avenir qui nous attend, puisque des centaines de Trappes existent dans l’hexagone.
Cette situation explosive des banlieues islamisées, les Nationalistes et Patriotes l’avaient prédit depuis plus d’un demi-siècle. Leur combat contre l’immigration allogène et non seulement islamique, n’avait pas d’autre raison. Nous payons aujourd’hui les justes conséquences d’une politique criminelle qui ne se veut plus assimilatrice mais intégrationniste. Comme si l’intégration de communautés non apparentées ethniquement et culturellement à la nôtre, n’allait pas conduire à notre propre DESINTEGRATION. Les Nationalistes avaient raison. On a refusé de les entendre. La partitocratie a installé un « cordon sanitaire » autour d’eux. Bien peu nécessaire d’ailleurs, car on écoute rarement les oiseaux de mauvais augure. Parce que la nature humaine est ainsi faite. Dans nos sociétés marchandes et hédonistes, on préfère les mensonges bienfaisants, les illusions anesthésiantes aux vérités qui dérangent le petit confort bourgeois.
Les problèmesprovoqués par l’émergence de l’ISLAM dans notre société ne sont pas sans rappeler quelques similitudes avec un autre fléau : le COMMUNISME. Là aussi, les Nationalistes et Patriotes furent, les premiers, à sonner le tocsin contre le cancer rouge. Dans les années trente, les Ligues patriotiques affrontèrent vigoureusement dans la rue, les bandes marxistes. Puis, nombre des nôtres versèrent vaillamment leur sang sur les champs de bataille, du Front de l’Est à l’Algérie, en passant par l’Indochine. Toujours contre l’ennemi mortel du moment. On ne les a pas écoutés et soutenus. On les a maudits. Il a fallu attendre un ex-compagnon de route du parti communiste, le français de papier Yves Montand pour faire résonner dans les médias, la réalité de l’ignominie communiste. (Cf. Son film L’Aveu en 1970). A croire qu’il n’y a de bon oracle que dans le marais putride de la progéniture jacobine.
Mais la bête bouge encore… Du fait du totalitarisme gauchiste, Didier Lemaire n’a pas reçu tout le soutien qu’il était en droit d’espérer de sa hiérarchie administrative et du monde syndical. Doit-on s’en étonner ? Toute l’institution éducative baigne dans la préférence étrangère. Dans la haine de nos traditions séculaires, de nos cultures enracinées et de notre appartenance ethnoreligieuse. Didier Lemaire devait pourtant savoir que l’Etat jacobin a, depuis longtemps, pris le parti de l’étranger sur celui des autochtones. Le préfet l’a traité « d’irresponsable ». Propos honteux mais ô combien révélateur de cette république cosmopolite. Malgré tout, Didier Lemaire et le corps enseignant demeurent fascinés par la religion des droits de l’homme qu’ils diffusent auprès de nos chères têtes de moins en moins blondes. Ils n’ont aucune excuse.
Nous ne pouvons donc les plaindre car ceux qui sèment le vent récoltent la tempête. Nous ne pouvons que les inciter à se relever, à quitter leurs syndicats collabos, à monter au créneau pour rejoindre ceux qui ont le courage de s’élever contre l’islamisation, et à jeter aux orties la doctrine maçonnique qui pourrit les consciences de ceux qu’ils sont sensés éduquer. Car éduquer, c’est élever dans le sens du Beau, du Bien et du Vrai, en accord avec notre Passé et non contre lui. Les structures nationalistes existent pour les accueillir. Qu’ils recherchent sur le Web. Elles ne sont pas si difficiles à découvrir. Qu’ils sautent le pas ! Car agir c’est tout, et gémir est bien peu conforme au tempérament occidental.
Nul ne peut nier désormais la DESEUROPEANISATION de la ville de Trappes. Ville rongée par l’islamisme, ville gérée par le socialisme, « ville perdue » selon Didier Lemaire. Pour notre malheur, la déseuropéanisation s’accroit implacablement dans nos villes bretonnes comme Nantes, Brest et Rennes. Gérées, elles-aussi par des socialistes. Le Grand remplacement ne relève plus du fantasme. Le premier responsable est l’Etat français et ses laquais. Or, cette substitution de population – notre disparition – ne serait possible sans la complicité des élus, des organismes locaux, des associations et des chiens de garde du grand patronat pour museler toute opposition. Ne l’oublions pas, car il faudra bien un jour, faire justice de toute cette trahison. Sans excès mais sans faiblesse.
Dès lors, nos compatriotes Bretons doivent tirer les leçons du cri d’alarme lancé par ce professeur de philosophie. Veulent-ils que les villes bretonnes soient soumises au même sort que Trappes et que la Bretagne devienne le Breizhistan ?
La solution tient en deux mots : Etat national breton et Remigration.
Jakez GWILLOU (15 février 2021)
