par Jacques GUILLEMAIN (1)
Depuis 40 ans, les Français ont le grand malheur d’être gouvernés par les “élites” les plus incompétentes et les plus irresponsables du monde occidental. (Enarques…)
Et je pèse mes mots, tant l’effondrement du pays, en une seule génération, est effarant.
Ces bons à rien qui ont la prétention d’avoir la science infuse, ont réussi l’exploit de faire de la deuxième puissance mondiale en 1980, un pays ruiné en voie de sous-développement.
La génération MITTERAND et suivantes n’ont pas connu l’âge d’or des Trente Glorieuses et ignorent qu’en 1975, la France était la deuxième puissance économique mondiale, derrière les États-Unis.
La Chine en était encore au Moyen Âge, tout juste capable de fabriquer des cerfs-volants et des lampions.
L’Allemagne, encore coupée en deux, et le Japon, ne s’étaient pas encore relevés totalement de la guerre.
L’Angleterre restait minée par des syndicats corporatistes dévastateurs, jusqu’à leur mise au pas par Margaret THATCHER, la providentielle “Dame de fer”.
La France était à la pointe de toutes les technologies, avec son nucléaire civil et militaire, son TGV, ses paquebots géants, ses sous-marins nucléaires, ses Mirage vainqueurs de la “guerre des Six Jours”, Ariane, la Caravelle…
Avec une croissance de 5 à 6 % pendant trente ans, elle ne connaissait ni chômage, ni insécurité. Jamais la France n’avait connu une telle explosion du niveau de vie.
Son immigration européenne ne demandait qu’à s’intégrer, les Italiens, les Espagnols et les Portugais épousant des Françaises et donnant des prénoms français à leurs enfants.
Les jeunes ne savent pas non plus qu’en 1980, les Français avaient le cinquième niveau de vie au monde, derrière les USA, et trois petits pays privilégiés, la Suisse, le Luxembourg et la Suède.
Bref, la France des Trente Glorieuses était un véritable paradis et le pitoyable épisode de mai 68, éminemment politisé, avait été effacé en quelques mois. La croissance repartait de plus belle, au grand étonnement du monde.
Mais en quelques décennies, tout cela a été balayé, tout l’héritage du général de GAULLE a été dilapidé par des équipes de fossoyeurs de la nation, de droite comme de gauche.
Tous, sans aucune exception, ont participé à cette gigantesque entreprise de démolition, faisant de la France un pays ruiné, désintégré, islamisé et parmi les plus dangereux du monde occidental.
De cette époque bénie il ne reste qu’un champ de ruines. Mondialisation, immigration, gabegie, incompétence, trahisons et lâchetés des uns et des autres, ont tout emporté.
Depuis 40 ans, les Français ont le grand malheur d’être gouvernés par les “élites” les plus incompétentes et les plus irresponsables du monde occidental. (Enarques…)
Et je pèse mes mots, tant l’effondrement du pays, en une seule génération, est effarant.
Ces bons à rien qui ont la prétention d’avoir la science infuse, ont réussi l’exploit de faire de la deuxième puissance mondiale en 1980, un pays ruiné en voie de sous-développement
.La génération MITTERAND et suivantes n’ont pas connu l’âge d’or des Trente Glorieuses et ignorent qu’en 1975, la France était la deuxième puissance économique mondiale, derrière les États-Unis.
La Chine en était encore au Moyen Âge, tout juste capable de fabriquer des cerfs-volants et des lampions.
L’Allemagne, encore coupée en deux, et le Japon, ne s’étaient pas encore relevés totalement de la guerre.
L’Angleterre restait minée par des syndicats corporatistes dévastateurs, jusqu’à leur mise au pas par Margaret THATCHER, la providentielle “Dame de fer”.
La France était à la pointe de toutes les technologies, avec son nucléaire civil et militaire, son TGV, ses paquebots géants, ses sous-marins nucléaires, ses Mirage vainqueurs de la “guerre des Six Jours”, Ariane, la Caravelle…
Avec une croissance de 5 à 6 % pendant trente ans, elle ne connaissait ni chômage, ni insécurité. Jamais la France n’avait connu une telle explosion du niveau de vie.
Son immigration européenne ne demandait qu’à s’intégrer, les Italiens, les Espagnols et les Portugais épousant des Françaises et donnant des prénoms français à leurs enfants.
Les jeunes ne savent pas non plus qu’en 1980, les Français avaient le cinquième niveau de vie au monde, derrière les USA, et trois petits pays privilégiés, la Suisse, le Luxembourg et la Suède.
Bref, la France des Trente Glorieuses était un véritable paradis et le pitoyable épisode de mai 68, éminemment politisé, avait été effacé en quelques mois. La croissance repartait de plus belle, au grand étonnement du monde.
Mais en quelques décennies, tout cela a été balayé, tout l’héritage du général de GAULLE a été dilapidé par des équipes de fossoyeurs de la nation, de droite comme de gauche.
Tous, sans aucune exception, ont participé à cette gigantesque entreprise de démolition, faisant de la France un pays ruiné, désintégré, islamisé et parmi les plus dangereux du monde occidental.
De cette époque bénie il ne reste qu’un champ de ruines. Mondialisation, immigration, gabegie, incompétence, trahisons et lâchetés des uns et des autres, ont tout emporté.
L’école est en plein naufrage.
Celle-ci, qui faisait notre fierté depuis Jules FERRY, n’est plus un sanctuaire de la transmission du savoir, mais un espace de plus en plus islamisé, où règne l’insécurité et où se propage la haine de la France.
En 2004, le rapport Obin tirait la sonnette d’alarme sur la dangereuse islamisation de l’école républicaine. Mais le frileux François FILLON, alors ministre de l’Éducation nationale, s’est empressé de l’enterrer. “Nous avons perdu 20 ans”, dit aujourd’hui l’ex-inspecteur général Jean-Pierre OBIN.
Au classement Pisa, nous reculons dramatiquement à chaque nouvelle étude. L’Éducation nationale devient une usine à cancres, où un bachelier ne maîtrise même plus la langue de Molière.
Notre industrie est laminée.
Hautement performante en 1975, elle a perdu 3,5 millions d’emplois, passant d’un effectif de 6,2 millions à 2,7.
Et la part de l’industrie dans le PIB a chuté de 25 % à 10 %. La France détient ainsi le bonnet d’âne de l’UE.
Nous avons tout vendu ou délocalisé, comme l’a prouvé la crise sanitaire.
(1) Jacques Guillemain est lieutenant-colonel et pilote, en retraite de l’armée de l’air. Après vingt-cinq ans de service et plusieurs séjours en Afrique, il a quitté l’uniforme pour endosser celui de l’aviation civile et sillonner encore l’Europe et le monde. Après cette deuxième carrière, il consacre maintenant une partie de son temps à écrire sur Riposte Laïque, devenue « sa tribune quotidienne personnelle » comme il le dit lui-même. Passionné d’histoire et de géopolitique, il se décrit comme un « lépreux populiste », insulte suprême dans la bouche d’Emmanuel Macron, mais en réalité synonyme de patriote amoureux de la France et de tout ce que représentent ses deux-mille années d’histoire, dont mille cinq-cent de chrétienté.