L’avenir de l’Europe, c’est l’axe Pologne-Hongrie-Tchéquie-Slovaquie

Rien ne fera reculer le groupe Visegrad, ces quatre pays de l’Est opposés à tout quota d’immigration qui serait imposé par l’UE.

 Pologne, République tchèque, Slovaquie et Hongrie résistent à toutes les pressions et critiques des illuminés de Bruxelles, qui bradent notre identité et notre culture à tout va, comme s’ils avaient honte d’être Européens. Non seulement les menaces et le chantage aux aides européennes de Merkel ne sont d’aucun effet, mais ces peuples homogènes, qui ont connu le joug soviétique et gagné leur liberté, n’accepteront jamais d’aliéner à nouveau leur souveraineté. Ils ne sont pas avachis et ramollis comme les démocraties occidentales, après 70 ans de paix et de progrès social. Les souffrances et la misère, ils s’en souviennent. Il y a 30 ans ils subissaient encore les oukases de Moscou. Pas question de subir aujourd’hui les diktats de Bruxelles ou Berlin ! La ténacité et le courage des dirigeants de ces pays, qui ont une haute idée de leurs responsabilités et entendent défendre leur peuple contre tout danger potentiel, méritent  notre respect. Quel contraste avec la lâcheté et la démission des dirigeants de l’Ouest !
Tchéquie. De passage à Salzbourg en Autriche, pour y rencontrer Emmanuel Macron au sujet du dossier des travailleurs détachés, le Premier ministre tchèque a rappelé que son pays ne voulait pas accueillir plus de musulmans. « Lorsque nous observons les problèmes dans les autres pays européens, nous, en Tchéquie, ne voulons pas plus de musulmans » a-t-il dit. « Nous aimerions vraiment que l’Europe protège mieux ses frontières extérieures. L’accueil des réfugiés devrait toujours faire partie de la compétence des États-nations. En Europe, nous voyons trop souvent des problèmes avec l’intégration de personnes qui proviennent d’autres milieux culturels ou religieux ». Il y a 22 000 musulmans en Tchéquie.
Hongrie. Le portrait de Viktor Orban, que la presse occidentale traîne dans la boue à longueur de journée, n’est plus à faire. Les patriotes le connaissent. Si son référendum de 2016 sur l’immigration n’a pas atteint les 50% de participation espérés, chez les votants, le “non” aux quotas voulus par l’UE a cependant obtenu 98,3% des voix ! Un véritable succès contrairement aux commentaires mensongers de l’UE, qui a minimisé l’événement.

Car les 55% d’abstentionnistes, sans le moindre doute possible, auraient voté dans les mêmes proportions et n’auraient jamais renversé le résultat.
Pologne. Un récent sondage nous apprend que 73,5% des jeunes Polonais de 18-24 ans, votent pour des partis de droite anti-immigration. Un jeune Polonais déclarait : “On ne veut pas vivre le chaos racial dans lequel vous vivez”. Un autre sondage a mesuré jusqu’où les Polonais étaient prêts à aller pour tenir tête à l’UE. En voici les résultats :
Première question : « La Pologne doit-elle refuser l’accueil des réfugiés en provenance de pays musulmans même si cela devait entraîner la perte des fonds européens ? »
– Oui : 56,5 % (dont 48,6 % de « oui » et 7,9 % de « plutôt oui »).
– Non : 40,4 % (dont 31,4 % de « non » et 9 % de « plutôt non »).

(pourcentage d’indécis : 3,1 %)
Deuxième question : « La Pologne doit-elle refuser l’accueil des réfugiés en provenance De pays musulmans même si cela devait entraîner la nécessité de quitter l’Union européenne ? »
– Oui : 51,2 % (dont 33,4 % de « oui » et 17,8 % de « plutôt oui »).
– Non : 37,6 % (dont 27,6 % de « non » et 10 % de « plutôt non »).
(pourcentage d’indécis : 11,2 %)
Slovaquie. En août 2015, le Premier ministre Robert Fico avait annoncé que son pays n’accepterait que des réfugiés chrétiens, invoquant des « raisons de sécurité », tandis que le ministre de l’Intérieur soulignait « l’absence de mosquées » pour justifier la politique de non-accueil de musulmans. Et la Slovaquie a adopté, en novembre 2016, une loi dont le but est d’empêcher l’islam d’obtenir le statut de religion officielle.
Telle est l’Europe de 2017. Une Europe largement divisée sur une question existentielle : l’immigration de masse de déshérités, porteuse d’un choc des cultures et des religions pouvant mener au désastre. En acceptant de perdre leur souveraineté, les peuples d’Europe de l’Ouest jouent avec le feu et avec l’avenir des générations futures.
Ceux qui accablent les pays de l’Est, au prétexte qu’ils ne se plient pas aux décisions suicidaires de Bruxelles, seraient bien avisés de s’interroger sur deux points.
Primo, alors qu’il y a des agressions quotidiennes en Europe de l’Ouest, il n’y en a pas dans le groupe Visegrad. Un hasard ?
Secundo, entre un Viktor Orban qui donne la parole au peuple sur un sujet vital qui conditionne son avenir, et un Emmanuel Macron qui refuse de faire un référendum sur l’immigration, sachant que 70% des Français ne veulent plus d’immigrés, lequel est en droit  de donner des leçons de démocratie à l’autre ?
Alors assez de leçons de morale et de niaiseries sur le racisme, l’islamophobie et autres foutaises politiquement correctes. C’est au peuple français de décider de son avenir, pas aux ayatollahs du mondialisme et du multiculturalisme, qui se comportent en dictateurs, sachant qu’ils gouvernent contre la volonté populaire.
Pour les pays de l’Est, la France est devenue un contre modèle de démocratie.

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