Gilets jaunes bretons : suite

 

La journée de ce samedi 24 novembre a été marquée par d’importants épisodes d’affrontements entre manifestants et forces de l’ordre sur les Champs- Élysées.

 

Une seule devise : « ne pas aller là où l’on vous attend ».

Cela ne veut pas dire « être indifférent » mais afficher clairement notre différence, celle d’une volonté populaire bretonne, car si au mieux les Gilets Jaunes obtenaient raison (s) sur leur objectif (celui d’une réduction de peine) ils restent et demeurent des esclaves.

La République doit sombrer « une et indivisible » dans ce cancer qu’elle à fabriqué, il n’y a pas de médicament possible ni de traitement envisageable, la phase terminale est prononcée.  Seuls les trublions de l’extrême gauche en harcelant les forces de police et saccageant le bien public (ou privé) lui donne encore un peu de légitimité, pour exister.

Tous ont le refus des spécificités, des traditions et des valeurs filiales de ces terroirs qui font leurs qualités par la variété des paysages; les façons d’y travailler, de manger ou de se loger, l’essentiel du quotidien.  Les obsédés de la planification mortifère que les peuples refusent dans leur intime conviction, qu’elle soit européenne ou mondialiste, n’ont comme solution que d’avoir recours à la zizanie, au conflit permanent pour s’imposer.

Si Louis XVI parlait de « ses peuples » c’est bien qu’il en reconnaissait les diversités, les caractères et les richesses, ce que les « sans culottes » ne pouvaient accepter à travers le concept d’égalité.  Pour eux, mieux valait être tous pauvres et misérables que différents et méritants au prix de ses efforts et de ses connaissances: « la ruine publique » arrive donc à son apogée, dans une dictature de médiocrité.

La fuite de nos cerveaux, de nos brevets, de nos capitaux ne sont que la triste réalité d’un pillage organisé aussi bien de l’intérieur que par des puissances extérieures.  Le Macron est donc un « agent double » de la plus haute trahison !

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