LA CULTURE DE MORT EST EN DEUIL

La famille autour du berceau vide, 1909, pastel sur papier, 800 x 1070 mm, les Lucs-sur-Boulogne, collection Historial de la Vendée. cg85

La République jacobine vient de perdre une de ses icones, en la personne de la femme VEIL qui laissera dans l’histoire de nos peuples européens, son nom associé à celui d’un symbole de mort. La mort annuelle de plus de deux cents mille enfants à naître, du fait de sa législation de 1975 sur l’avortement.

Depuis l’instauration de cette loi criminelle autorisant le meurtre du fœtus pourtant considéré par le Droit naturel comme un être humain à part entière, ce sont plus de huit millions d’enfants qui manquent à l’appel. C’est le « massacre des innocents » que l’on peut qualifier de génocide. Un génocide que la Gueuse porte à son actif, comme elle a perpétré jadis celui des peuples britto-vendéens lors de la révolution sanglante de 1789.

Il s’agit là d’un crime contre l’humanité dont les parlementaires de l’époque portent une écrasante responsabilité, qu’ils soient étiquetés de droite ou de gauche, mais ils ne sont pas les seuls coupables. Aussi condamnable fut l’absence de réaction énergique de la part de notre épiscopat déjà gangrené par la philosophie maçonnico-conciliaire.

Avec le recul du temps, nul ne niera que cette sinistre loi Veil s’inscrit dans une stratégie à long terme dont les étapes se déroulent sous nos yeux. Outre qu’elle plombe le renouvellement des générations, les pouvoirs publics successifs n’ont jamais engagé la moindre mesure nataliste pour redresser la natalité autochtone. Conjuguée avec la politique d’immigration menée depuis les années soixante-dix, cette législation aboutit à notre lente disparition. Laquelle résulte non pas du hasard mais d’une volonté politique antinaturelle décidée en haut-lieu dans les cénacles de la Finance internationale et des lobbies mondialistes qui dictent leurs ordres à nos politiciens.

AVORTEMENT et IMMIGRATION sont ainsi les deux leviers mis en place pour opérer le remplacement des populations européennes, nécessaire à l’édification de leur Nouvel ordre marchand. Le « Grand remplacement » qui est nié, contre l’évidence par tous nos bons républicains, y compris Madame LE PEN, porte-voix des nationalistes français. En effet, il faut être d’un esprit bien mal intentionné, comme le nôtre, pour oser une comparaison entre le spectre des berceaux vides créé par la politique d’avortements depuis 40 ans et les chiffres de la présence allogène dans l’Hexagone estimés tant par Dali BOUBAKER ou Jean-Paul GOUREVITCH en 2016 !

Aujourd’hui, l’amie des faiseurs et faiseuses d’anges légalisés, est encensée par toute la classe politique corrompue de la république française, par la cléricature médiatique, par des autorités religieuses pusillanimes etc…, et soyons certains, que nombre de rues, de places, d’universités ou d’instituts en tous genres ne manqueront pas d’être « baptisés » de son patronyme pour célébrer son œuvre de mort. Mais demain ?

Demain, cette icône de leur république, ne pourra échapper au verdict de l’histoire, car la culture de mort ne peut gagner éternellement, et cette loi infâme sera abrogée.

Pour notre part, nos pensées iront uniquement vers ces millions de petites victimes ignorées par la bien-pensance, des victimes auxquelles la Providence ne manquera pas de rendre justice.

Jakez GWILLOU

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