Communiqué: Soutien aux quatre jeunes Bretons d’Arzon (56)

L’Etat français par la voix de ses représentants judiciaires, vient de frapper d’une peine d’amende et de prison avec sursis quatre jeunes Bretons, pour des faits qui ne manqueront pas de se reproduire, au vu de l’envahissement migratoire.

Que reprochait donc l’Etat colonial à nos quatre compatriotes, dont l’un vient de mettre fin à ses jours ? D’avoir volé, agressé, brulé le mobilier urbain ? Rien de  cela.

C’est d’avoir manifesté le 14 novembre 2016 à ARZON (56), pour dénoncer les agissements d’un clandestin auteur d’une agression sexuelle qui était logé aux frais du contribuable dans le CCAS de cette commune.

Cette « chance pour la France » mais surement pas pour la Bretagne, était l’un des nombreux migrants en situation irrégulière en provenance de « la Jungle de Calais », que les gauleiters jacobins ont imposé dans nos cinq départements. En attendant, de nouvelles répartitions…

Dans cette perspective, ce verdict politique a pour but de neutraliser les patriotes bretons qui œuvrent au réveil de la nation bretonne  en danger de mort, et d’intimider ceux qui seraient tentés de participer à de futurs rassemblements instantanés ou pas.

Nous, nationalistes bretons, nous ne sommes pas dupes. Nous savons que la justice française est une justice partisane qui rend des sentences politiques. L’indépendance de la justice est un leurre. Elle passe par la rupture du lien hiérarchique qui relie les magistrats du Parquet au Garde des Sceaux, par la suppression des syndicats et l’interdiction des sociétés secrètes dans la magistrature.

Dans cette attente, le « Gouvernement provisoire de Bretagne en exil »  témoigne  son entière solidarité  à ces jeunes Bretons qui ont sauvé l’honneur de leurs compatriotes. Face à un Etat qui n’applique pas ses lois à l’encontre des clandestins qui devraient être expulsés manu militari. Face à des maires qui trahissent les intérêts de leurs administrés, par lâcheté ou par inconscience. Face aux négateurs de l’identité qui opèrent leur travail de sape dans nos quotidiens régionaux, dans nos stations de radios et dans nos institutions éducatives.

Au-delà de ce  verdict judiciaire, c’est le sort de notre pays et de notre peuple qui se joue aujourd’hui. N’attendons rien que de nous-mêmes et le surplus nous sera accordé par La Providence. Bevet Breizh !

Gouarnamant Breizh da C’hortoz – Gouvernement Provisoire de Bretagne en exil – Provisional Government of Brittany

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.